//COMITE ADO// Les hauts-conteurs: la voix des rois, tome 1

Avis du comité:

Léa

Roland est une fils d'aubergiste, ne rêvant que d'aventures et de prouesses. Un jour, un Haut-conteur disparait dans la fôret où nombre de légendes sont racontées. L'histoire a t-elle mangé celui qui la racontait? C'est le début d'une grande aventure pour Roland.

J'ai beaucoup apprécié ce livre car il parle de magie se mêlant à de l'historique, des sectes... Il y a toujours de l'actionet on dirait que les personnages ne se reposent jamais. J'aime beaucoup le concept des hait-conteurs et du livre des peurs.

Lauréats du prix Sorcières 2013!

Voici les lauréats du Prix Sorcières 2013.

Des livres coups de coeur dont nous vous avons déjà beaucoup parlé dès leur sortie.

Ils sont tous disponibles à la librairie, n'hésitez pas à venir les feuilleter et les découvrir chez Nemo.

A très vite!

//Comité ado// La fois où je suis devenu écrivain, V. Cuvellier, Le Rouergue

Avis du comité

Garance

Vincent est nul au collège. Il se fait virer en fin de troisième et sait une chose: il adore écrire.

Je n'ai pas trop aimé ce livre car il est triste et je n'aime pas la façon dont il est raconté.

 

Avis de Nemo:

Le récit de ce qui a conduit l'auteur, Vincent Cuvellier, a décider un jour qu'il vivrait de l'écriture. Un parcours chaotique débuté au coeur de l'adolescence, entre échec scolaire et foi en soi-même.

Les enfants du roi, Sonya Hartnett, Les grandes personnes

 

 

 

A Londres, c’est la guerre : les bombardements font rage chaque nuit. Cecily (12 ans)  et Jeremy  (14 ans) doivent quitter la capitale avec leur mère pour se réfugier chez un oncle qui vit à la campagne.  Là, ils seront à l’abri.

Pour Cecily, c’est la belle vie : pas d’école, le confort, l’insouciance et la liberté et … une nouvelle amie, May : une « évacuée » comme elle, que sa mère va accueillir dans la grande maison familiale.

Pour May, c’est la peur et l’angoisse pour ses parents : sa mère restée à Londres et son père parti au front.

Jeremy,  quant à lui, vit très mal cet éloignement de la capitale : il aimerait agir  et se battre comme les adultes.

Ce quotidien va se doubler d’une étrange rencontre dans un château en ruines. Elle fera prendre conscience aux enfants que le monde est cruel mais elle leur permettra de mieux vivre leurs angoisses dues à la guerre.

Après L’enfant du fantôme et L’enfant du jeudi, on retrouve dans un roman plus accessible, l’amour que Sonya Hartnett a à décrire l’enfance et l’adolescence, la justesse de ses propos et le regard bienveillant qu’elle pose toujours sur eux. C’est une écriture sans faille, qui tisse au fil des pages l'histoire, la petite et la grande, comme pour mieux aider les enfants à grandir.

Enorme coup de cœur, à conseiller à partir de 12 ans.

Le Citrouille n° 64 est arrivé!

À retrouver notamment un article sur la médiathèque pierresvives, par Geneviève, dans le dossier architecture, un très beau texte de Madeline et bien plus encore.

Il vous attend à la librairie dès aujourd'hui!