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05 mars 2013

Les filles de Cùchulainn, Jean-François Chabas, l'école des loisirs, collection Médium

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Ca fait des lunes que je n'avais pas lu un roman de Jean-François Chabas.
En effet, je vérifie la parution du dernier livre lu, l'Eau verte  : 2005. Le temps passe si vite.  Et tant d'autres romans lus ...
Une sorte d'overdose mêlée à un sentiment de lassitude, le rythme des parutions ne me laissant pas de répit, pas le temps d'avoir à nouveau envie de retrouver la magie de son écriture...
Et là, avec Les filles de Cùchulainn, le temps de la réconciliation est venu.
Un service de presse envoyé par l' Ecole des loisirs, la silhouette d'un magnifique cheval de trait dans le brouillard irlandais en couverture, le résumé au dos, une après-midi très froide et peu de clients passant la porte de la librairie... voilà tous les ingrédients qui ont fait que je me suis lancée dans la lecture de ce roman.
Et la magie a opéré...
Je l'ai lu d'une traite ou presqu'... J'ai laissé la fin pour mon retour du week-end. Et quelle fin...
Bon, vous me direz, c'est bien beau, mais pourquoi ce livre vaut la peine d'un petit papier sur le blog ?
D'abord le résumé : L'histoire se passe sur une petite île dans la mer d'Irlande, une île battue par les vents, sauvage et rude, à l'image de ses habitants.
Mary, veuve de son marin-pêcheur et mère d'adorables petites jumelles, est institutrice dans l'unique école de l'île.
Avec son mari, elle avait fait l'acquisition d'un cheval de race, de la race des plus grands cheveaux, puissant, magnifique. Mais Cuchulainn est borgne et en plus, il refuse de travailler. Mary et son mari décident malgré tout de le garder.  Cuchulainn va devenir la sentinelle, l'ange gardien de la maison et Mary est bien obligée d'accepter qu'entre ses deux filles et le grand cheval, un lien secret et indéfectible existe. La preuve, vous la lirez à la fin du roman...

Voilà comment je me suis réconciliée avec Jean-François Chabas, enfin... disons plutôt avec ses romans.

Ce que j'ai aimé retrouver : son écriture fluide mains néanmoins dense, la part de mystère dans le récit et ici, l'Irlande s'y prête tellement bien, le personnage qui raconte et qui est le seul personnage principal à qui échappe tout ce mystère

Ce que j'aurais aimé trouver : les personnages des jumelles et du cheval (oui, oui, c'est un vrai personnage) plus développés

Publié dans Romans jeunesse | Lien permanent | Commentaires (0) |

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